Quatrième de Couverture :
Mon nom est Jill Kismet. Spécialiste en trucs surnaturels. Exterminatrice d’esprits malfaisants. Tueuse de démons. Tout le monde ne supporte pas la nuit et ses créatures.… Mais je ne suis pas tout le monde. Mon passé m’a beaucoup appris sur les ténèbres, et je suis entraînée par le meilleur – quoique pas le moins dangereux. Les villes ont besoin de personnes comme nous, qui font des choses que même les flics refusent de faire, quand la nuit est tombée. Bienvenue dans mon univers.
Mon avis :
Extraits :
« Les villes ont besoin de gens comme nous, qui pourchassent les créatures que les flics ne peuvent pas arrêter pour empêcher les rues de sombrer dans le chaos.
On s'occupe des exorcismes exceptionnels. Pactisants, infernaux, Garous solitaires, changres, Douloureuses, adeptes de la Voie Médiane... Toutes les réjouissances que peut offrir le monde nocturne. En temps normal, le boulot du chasseur consiste seulement à jouer les intermédiaires entre la communauté paranormale et la police ordinaire et à s'assurer que tout reste en ordre.
Enfin, peut-être pas en ordre, mais dans un ordre relatif. Ce qui inclut, par définition, tout ce qui se classe entre « pas de cadavres dans la rue » et « chaos imminent ».
Faut savoir être flexible dans la vie. »
*****
« − D'accord. (J'ouvris le coffre et me mis à remplacer les chargeurs usés par des neufs que je rangeai dans mon ceinturon.) Interro surprise. Un Pactisant vous fonce dessus avec les yeux qui brillent d'un éclat rouge. Qu'est-ce que vous faites?
− Je me casse et je vous laisse vous en charger. Les yeux des Pactisants ne brillent pas.
Il croisa les bras, ce qui fit légèrement crisser sa veste en cuir. Il haussa brièvement un sourcil avec une moue très vague.
Donc, ce n'est pas un novice intégral
− Que faites-vous si un infernal me plaque à terre avec les mains autour de ma trachée ?
− Je me casse et je vous laisse vous en charger. Si un infernal s'approche si près de vous, c'est qu'il est trop crétin pour vivre. (Ses yeux se mirent à briller, brièvement recouverts d'un lustre terne entre bleu et vert quand le lampadaire se refléta dans sa pupille inhumaine. Comme les yeux d'un chat quand la lumière les éclaire sous un certain angle.) Je ne suis pas complètement débile, Kismet.
Alors maintenant c'est Kismet, plus « chasseuse » ou « l'autre salope qui pue l'infernal ». »
Ma note :