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25 octobre 2016 2 25 /10 /octobre /2016 08:58

 

Quatrième de Couverture :

Leila dispose d’un pouvoir terrifiant : elle voit les secrets les plus sombres des gens qu’elle touche. Raison pour laquelle des créatures de la nuit l’enlèvent et la forcent à entrer en contact télépathique avec le plus célèbre vampire du monde. Lorsque Leila rencontre Vlad, la passion menace de les consumer… Mais un vieil ennemi de ce dernier rôde dans l’ombre, bien déterminé à les voir littéralement brûler.

 

Mon Avis : 

Vlad ou bien Dracula s'avère bien réel. Ce que j'ai retenu de lui, c'est qu'il est hyper arrogant, pire tu meurs. Mais il est aussi protecteur envers sa lignée et envers Leila. 
Leila, ce que j'ai trouvé original, est une artiste du cirque, ancienne gymnaste. Elle a du changer de choix de carrière quand une vilaine, genre mortelle électrocution l'a changée. 
Depuis elle possède le pouvoir de voir les souvenirs des gens qu'elle touche et peut ainsi les retrouver.

Vlad et Leila vont former un duo improbable, pour démasquer l'ennemi de Vlad. Leur petit couple est aussi agréable et j'attends de voir comment il va évoluer. 

Bon, je ne l'ai pas lu dans l'ordre chronologique par rapport au monde de la Chasseuse de la Nuit, mais cette série peut se lire à part. L'écriture m'a aussi été beaucoup plus agréable par rapport aux premiers tomes relatifs à Cat et Bones. J'ai beaucoup plu apprécié Leila qui était fraîche et naturelle. Très bonne soirée en bref, que je recommande chaudement !

 

Extrait : 

« Les images en noir et blanc s'effacèrent au profit d'une clarté toute en couleurs. En lieu et place de la sinistre rive où Neddy avait rendu l'âme, je me vis entourée d'opulentes tentures. Je crus tout d'abord me trouver dans une petite pièce, mais je m'aperçus ensuite que les rideaux entouraient entièrement un grand lit. Le pyromane était couché au milieu, tout habillé, les yeux fermés comme s'il dormait.
Je te tiens, pensai-je, partagée entre le soulagement et le désarroi de l'avoir trouvé dans ce que je savais être le présent.
Jusque-là, je ne l'avais vu qu'à travers le filtre grisâtre des souvenirs, mais cet espionnage en direct changeait tout. Il n'y avait plus que moi dans ma tête. Libérée de toute influence extérieure, je pris mon temps pour l'observer.
Au premier abord, il donnait l'impression d'être un homme bien bâti, dans la trentaine, mais rapidement, je remarquai des éléments plus singuliers. Ses cheveux noir corbeau lui descendaient sous les épaules, plus bas que ne l'osaient la plupart des hommes, mais sur lui, cela ne faisait que rehausser sa virilité. Un pantalon noir et une chemise indigo enveloppaient des muscles qui semblaient bien plus durs que ceux d'un obsédé des salles de gym, et même si aucune flamme ne lui léchait les mains, ces dernières étaient sillonnées de cicatrices qui évoquaient autant de vestiges d'anciennes batailles. Ses pommettes saillantes étaient accentuées par une barbe de quelques jours, mais plutôt que de lui donner l'air négligé, il en retirait un aspect sauvage et attirant. Je n'avais pas vu un homme s'en tirer aussi bien avec ce look depuis Aragorn dans Le Seigneur des Anneaux. Quant à ses yeux...
Ouverts, une riche teinte cuivrée entourée de cercles vert foncé. Je les aurais trouvés beaux si je n'avais pas eu l'impression qu'ils étaient en train de regarder droit dans les miens.
Cela me déstabilisa, mais je me rappelai qu'il ne pouvait s'agir que d'une coïncidence. Personne ne se rendait jamais compte de rien lorsque j'utilisais mes dons pour établir un lien. J'aurais pu être le plus grand voyeur du monde si je l'avais voulu, mais mon souhait le plus cher était d'en savoir moins sur les gens que je croisais, pas plus...
— Qui es-tu ? »

 

Ma Note : 

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20 octobre 2016 4 20 /10 /octobre /2016 08:43

 

Quatrième de Couverture :

Valerius Magnus fait partie des Chasseurs de la Nuit qui le haïssent à cause de ses origines romaines. Depuis vingt siècles, il lutte contre les Damnés. Lors d'une échauffourée dans les rues de La Nouvelle-Orléans. il rencontre Tabitha Devereaux. Immédiatement, il est fasciné par cette humaine qui se bat comme une panthère contre les vampires. Le prenant pour un ennemi, elle n'hésite pas à le poignarder, avant de le recueillir pour le soigner. Valerius lui découvre alors bien d'autres attraits, même s'il s'interdit d'aimer une mortelle. Autrefois, une femme a perdu la vie par sa faute. Il sait qu'il est condamné à une solitude désespérée. Pourtant, quand le danger menace Tabitha et les siens, il est prêt à tout pour les sauver et se prend à rêver d'une deuxième chance...

 

Mon Avis :

Bon tome, après la catastrophe que m'avait inspiré le tome précédent.
Le couple formé ici est assez plaisant. 
Taitha est un peu spéciale, mais ça n'a pas refroidit les ardeurs de Valerius. Il forme un assez joli couple. Valerius semble être odieux en apparence (enfin dans les autres tomes), mais c'est un tout autre personnage qu'on découvre ici. Le poids du passé lui pèse et il a en gros du mal à s'accepter. 
Côté intrigue, on a Desidirius le retour. C'est pas mal, un peu original, mais ça mérité d'être mieux ficelé. On s'y perd un peu parfois. La fin du livre est bien, on a pas mal de rebondissements et de découvertes. A suivre !

 

Extraits :

« — Vos vêtements sont à la blanchisserie. Ils seront livrés dès qu’ils seront prêts.
— Et en attendant ?
— Eh bien, vous serez tout nu.
Il écarquilla les yeux.
— Je vous demande pardon ?
— Demandez pardon tant que vous voudrez, ça n’y changera rien : vous resterez tout nu.
Tabitha le fixa, puis sourit malicieusement.
— Quel chouette fantasme qui se réalise… Un beau mec tout nu qui pleurniche pour avoir des habits. Continuez donc à pleurnicher. Ça ne fera pas revenir vos fringues plus vite, mais peut-être aurez-vous droit à autre chose.
Elle lui décocha un clin d’œil coquin et retint à grand-peine son hilarité quand elle le vit entortiller le drap autour de sa taille.
— En voilà une bonne idée ! Vous êtes romain, vous devriez pouvoir vous débrouiller pour vous faire une toge.
Valerius inspira profondément et prit son temps avant de répondre : il ne fallait pas bredouiller. Un homme de sa condition ne bredouillait pas, par Jupiter ! Mais se dominer était difficile. Jamais il n’avait eu affaire à une femme aussi étrange.
— Comment savez-vous que je suis romain ?
— Je vous l’ai dit : je connais Acheron et pas mal de vos collègues Chasseurs.
Elle marqua une pause, puis reprit avec un sourire aguicheur :
— Allez, soyez sympa, faites-vous une toge. Ça m’amuserait tellement ! Quand j’étais au lycée, on avait organisé un bal costumé et j’avais décidé de me déguiser en Romaine. Je me suis bricolé une toge, mais elle est tombée au beau milieu d’une danse. Heureusement que la copine avec qui j’étais n’était pas trop beurrée : elle a eu le réflexe de remonter tout le tissu sur mes épaules avant que les mecs se jettent sur moi. »

 

 

Ma Note :

 

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18 octobre 2016 2 18 /10 /octobre /2016 08:38

 

Quatrième de Couverture :

Sophia Russo est Justice-Psi. Son don est sa malédiction : elle peut revivre les souvenirs sanglants de criminels dérangés. Lorsqu’elle se retrouve à faire équipe avec Max Shannon, un flic humain, sur une affaire de meurtres, elle sent son conditionnement faiblir. Des émotions interdites se frayent un chemin dans son esprit saturé de perversions qui ne sont pas les siennes. Dans ces conditions, céder à son attirance pour cet homme signifierait accepter les ténèbres. Celles qui l’exhortent à faire justice elle-même et à devenir juge… et bourreau.

 

Mon Avis :

Agréable.
J'aime la psyché des personnages. Après, on en revient un peu à la même chose question romance, et ça commence à devenir un peu laissant au 8ème tome. Ou alors, j'en ai marre des Psis et je suis plus sauvage que je ne le pensais en préférant les Changelings !
Côté intrigue, celle concernant Silence s'étoffe et devient vraiment très intéressante. Le dénouement se fait désirer.

 

Extraits :

« — Max, je sais que tu as dit d’attendre le jour de notre mariage, mais j’ai vraiment envie de te dire quelque chose.
Max serra le volant.
— Tu es toujours pressée toi, hein chérie  ?
Elle songea qu’avec Max, elle était en effet à la fois impatiente et gourmande.
— J’adore ton odeur.
Il lui jeta un regard surpris.
— C’est ça que tu voulais me dire  ?
— Oui.
Avec un sourire satisfait, elle ferma les yeux et s’abandonna au sommeil qui menaçait de l’emporter depuis qu’ils étaient montés dans la voiture.
Elle n’eut pas conscience qu’ils arrivaient à l’immeuble, que Max la transportait dans sa chambre et l’étendait sur son lit. Elle ne sentit pas non plus le baiser qu’il déposa sur son front, ni les murmures tremblants de cet homme qui lui disait qu’elle était tout pour lui. »

 

*****

« À cet instant-là, elle aurait été incapable de faire autre chose. Théoriquement, elle avait su ce qu’était un orgasme, mais c’était bien différent de le vivre dans sa chair.
— Ce sera comme ça quand on aura des relations sexuelles  ?
— Oui. Exactement pareil. Ne t’inquiète pas.
Elle crut l’entendre s’étrangler un peu, mais Max avait incliné la tête pour couvrir sa clavicule de baisers et elle commençait à avoir du mal à raisonner. Tendant les bras, elle parvint à atteindre son dos et tira sur son tee-shirt.
— Tu l’enlèves  ?
Il redressa la tête.
— Ça ne te dérange pas qu’on ait autant de contacts physiques après ce qu’on vient de faire  ?
Elle fut tentée de répondre « non » sans hésiter, mais elle s’accorda un moment de réflexion.
— Non. (Une étrange sensation monta dans sa poitrine, mélange de plaisir, d’impatience… et d’humour.) Tu es merveilleusement idiot. »

 

 

Ma Note :

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10 octobre 2016 1 10 /10 /octobre /2016 08:10

 

Quatrième de Couverture :

Certains collectionnent des timbres, d’autres, comme moi, les emmerdes. 
Primo, j’ai découvert il y a peu que je ne suis pas humaine. Secundo, mes parents biologiques sont respectivement une salope manipulatrice et un connard psychorigide, malade du contrôle. Tertio, ce dernier a lancé des mercenaires loups-garous à mes trousses, dans l’espoir de me voir accomplir une prophétie où je tiens le premier rôle et, malheureusement, la faction maternelle caresse très exactement le même projet – à son profit naturellement. Quarto, imaginer mon ex-fiancé plumé jusqu’à l’os – au sens propre – me procure des frissons d’extase. Quinto, mon ex-amant ne peut me voir en peinture que s’il se trouve sur une terre consacrée ; tu parles d’un pratique ! Et sexto, je fréquente au quotidien bien trop de créatures appartenant au folklore fantastique. Autant dire que j’aspire à plus de normalité, ce qui ne semble pas au programme. 

Car, alors que ma vie sentimentale semble enfin s’éclairer, un terrible danger
 menace l’humanité. Évidemment, entre loups-garous & CO à mes basques ainsi que le procès qu’on me colle aux fesses, ce bon vieux Karma s’est dit que j’avais du temps libre à revendre pour tenter de sauver la planète. 
Des vacances à la montagne, c’est tout ce que je souhaite ! Mais voilà, le génie de la lampe, cet enfoiré, possède un sale sens de l’humour…

 

Mon Avis :

C'était intéressant et inattendu.
On retrouve Jana juste après les évènements du tome précédent. On se dit ouf, on va certainement avoir un peu de répit.... Mais Jana retombe dans tout un tas d'emmerdes farfelues. Je ne vous dévoile rien de plus car il faut vraiment le lire. 
Côté personnages, ils me sont devenus plus attachants, on les aime vraiment. 
Par contre, je trouve que Jana s'attache un peu trop vite sentimentalement parlant. C'est aussi un peu trop rocambolesque parfois, que ça pourrait en devenir déstabilisant.

 

Extraits :

« Je chutai et, une infinitésimale fraction de seconde plus tard, j’étais allongée sur le dos, Phen au-dessus de moi, mes poignets prisonniers de ses mains brûlantes de chaque côté de ma tête.
Ô Mon Dieu… ! Son souffle accéléré caressait mes lèvres et je pouvais sentir tous les reliefs de son corps sur le mien. Chaque creux, chaque bosse, et… Hein ? Mais… mais…
Mon logiciel interne eut un bug.
Je haletai de surprise, les yeux démesurément agrandis sous l’effet du choc.
Un sourire franchement amusé découvrit les dents parfaites à quelques centimètres de mon visage.
— Désolé, souffla-t-il. Je suis dans cet état à chaque fois que nous sommes dans la même pièce.
— Mais… vous êtes gay… balbutiai-je, incapable de trouver quelque chose d’intelligent à dire.
Phen haussa un sourcil railleur.
— Je me demande ce qui a bien pu te mettre une telle idée en tête…
Ses pouces caressaient la peau fine de mes poignets et, je ne sais pourquoi, je fus persuadée que c’était plus instinctif que volontaire.
 Un frisson de feu courut de ma nuque à mes reins.
— Alors vous êtes… dis-je d’une petite voix étranglée, sans finir ma phrase, laissant les mots suivants se débrouiller tous seuls pour exister.
— Indubitablement. »

 

*****

« Sans même une demi-seconde de répit, courbé pour éviter la salve de balles au chrême qui crépita sur la paroi devant nous, Kell m’entraîna contre l’intérieur du bastingage, à l’abri des projectiles. Le démon m’attrapa par le col de mon tee-shirt pour rapprocher mon visage du sien et cracha, crispé :
— Vous avez juré !
Puis, sans transition, il s’affaissa sur la moquette couleur slim, les yeux papillonnant comme s’il luttait contre le sommeil.
Non, non, non ! Pas ça ! 
Il devait être blessé et avait mal évalué les dégâts du chrême. La lumière blafarde des lampadaires au bord du quai sculptait son visage, faisant ressortir son nez droit, ses pommettes et la ligne dure de sa mâchoire.
— Bon Dieu, Kell ! C’est pas le moment de piquer un roupillon ! (Je lui donnai une petite claque bien sèche qui lui fit rouvrir un œil.) Ils vont nous tomber dessus !
— Non, souffla-t-il avec effort. Comme les loups… Peuvent pas monter… à bord.
Ses yeux roulèrent dans leurs orbites et il s’évanouit pour
 de bon.
Qu’est-ce que…
Mon regard se promena autour de moi et je compris. Au-dessus de nous, il y avait un clocher surmonté d’une croix.
Nous étions à bord d’une putain d’église flottante.
Kell n’était pas gravement blessé. Il était juste en train de se transformer en Dr Jekyll ; Mister Hyde étant son état habituel. »

 

Ma Note :

 

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6 octobre 2016 4 06 /10 /octobre /2016 08:07

 

Quatrième de Couverture :

Vane est un loup-garou de la race des Katagarians, plus bête que homme. Haïe par son père qui cherche à se débarasser de lui et de son frère Fang, le jeuen homme ne peut pas non plus se tourner vers sa mère qui l'a abandonné, dégoûtée par sa nature. Exilé de la meute, Vane erre donc dans la Nouvelle-Orléans en attendant que Fang se rétablisse... jusqu'à ce qu'il rencontre Bride...
Bride est une jeune femme irlandaise tout en formes. Cependant, ce n'est pas au goût de tout le monde. En effet Taylor, l'homme qu'elle prenait pour l'amour de sa vie, vient tout juste de la quitter. Après l'avoir utilisée pour décrocher un bon travail... Désespérée, Bride est furieuse de s'être ainsi laissée avoir, et ne compte plus se confier à un homme de sitôt.
Jusqu'à ce qu'elle rencontre Vane. Charmant, ce jeune homme sorti de nulle part prend soin d'elle comme jamais personne ne l'avait fait. Mais qui est-il vraiment ? Et pourquoi cet intérêt subi pour elle ?

 

Mon Avis :

Déçue. 
C'est le moins bon de la série pour l'instant. L'histoire est un peu creuse, vide, c'est idem pour la romance. 
J'en attendais plus, je préfère quand l'intrigue tourne autour des Chasseurs, car dans ces tomes là, il y a pas mal d'éléments mythologiques qui viennent apporter un plus à l'histoire.
Là, il y avait du potentiel : les pouvoirs des garous, les luttes inter-espèces, les voyages temporels et j'en passe ! Après, Vane et Bride ont quand même été choux par moments et j'ai aimé sa façon de la séduire.
L'ensemble a été mal exploité et j'attends de lire les tomes suivants pour rehausser mon évaluation quant à cette série.

 

Extraits :

« — Hé, les loups, si l’un de vous deux hurlait, je pourrais déclamer la tirade qui commence par : « Écoutez-les, les enfants de la nuit, quelle musique ils font ! »
Il attendit, et comme ni Vane ni Fury ne hurlaient, il reprit :
— Bon. J’enregistre que les loups n’ont aucun sens de l’humour et qu’ils n’ont jamais lu Dracula. Pas grave.
Suivez-moi. Je vais vous montrer vos chambres et vous informer de quelques règles à suivre, celle-ci étant la plus importante : le moins de bruit possible dans la journée pour ne pas réveiller le comte Penicula.
— Penicula ? demanda Bride.
— Mon insulte favorite pour Valerius. Une combinaison de « pénis » et « Dracula ».
Bride s’abstint de rire. Elle ne tenait pas à encourager Otto à se montrer méchant.
— Comment ça se fait que tu sois aussi bavard, Carvalletti ? s’enquit Vane en montant l’escalier. J’ai toujours cru que tu étais un type peu loquace.
— Je le suis, en principe. Mais je suis coincé dans ce palais depuis si longtemps que je commence
 à perdre la boule. Je me dis que j’aurais mieux fait de me barrer en Alaska. Tu te rends compte que je parle même avec Nick pour rompre la monotonie ? Voilà à quoi j’en suis réduit ! »

*****

« — Bride, je ne veux pas que tu sois mince. Je t’aime comme tu es. Chez moi, on a un dicton : « La viande est pour les hommes, les os pour les chiens. »
— Peut-être, mais tu es à la fois homme et chien.
— Quand j’ai le choix entre la viande et les os, je me jette sur la viande, dit-il en l’embrassant dans le cou.
Elle soupira de bonheur. Son parfum viril, la chaleur de son corps la faisaient chavirer de plaisir.
— C’est donc tout ce qu’il y a entre nous, Vane ? Du sexe ?
Il la pressa contre son cœur.
— Non, Bride. Le sexe n’est que la manifestation de ce que je ressens pour toi. Personne ne m’a jamais ému comme tu le fais. Tu es comme un murmure : douce, apaisante, gentille. Ceux de mon espèce ne savent que crier. Tu es mon paradis sur terre.
Elle frissonna, bouleversée.
— Tu es sincère ?
— Bien sûr. Je suis peut-être humain, mais je suis aussi un animal, et les animaux ne mentent ni ne trompent. »

 

 

Ma Note :

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1 octobre 2016 6 01 /10 /octobre /2016 08:07

 

Quatrième de Couverture :

Devraj Santos n’a jamais hésité à se salir les mains pour protéger les siens. Lorsqu’il trouve sur son territoire une jeune femme inconsciente, torturée et amnésique, il devrait l’éliminer. Pourtant, il ne peut se résoudre à la blesser. Dépouillée de ses souvenirs et programmée pour tuer, Katya Haas doit combattre la folie qui la menace. Dev est son seul espoir. Mais pourquoi l’homme qui risque d’être sa prochaine cible lui accorderait-il sa confiance ?

 

Mon Avis :

Intéressant.
Katya est une rescapée, mais c'est aussi une ennemi potentielle. Elle a été conçue dans le but de détruire le directeur de Shine. 
Lui, n'a pas sur résister à la femme fragile et torturée qu'elle représente. De la méfiance va naître de la tendresse et enfin l'amour. 
J'ai apprécié Katya, un peu moins Dev qui m'a semblé un peu creux. 
J'ajoute aussi que pas mal de personnages secondaires m'ont intrigué. En soi, un bon tome mais qui m'a moins fait vibrer que les précédents.

 

Extrait :

« — Tu connais la réponse. (Il fixa des yeux sa cambrure fine. Si elle voulait bien lui faire face, il aurait moins l’impression d’être un monstre.) Tu la connais depuis le départ.
Elle plaqua une main sur la vitre.
— Tu vas me détenir ici aussi longtemps que nécessaire. Des années s’il le faut.
Sa voix monocorde lui fit l’effet d’un coup de pied dans le ventre. Pour la première fois, elle parlait comme une Psi. Comme s’il avait détruit quelque chose en elle.
— Ça n’arrivera pas, dit-il. Nous ne tarderons pas à obtenir des réponses.
Il avait mobilisé tous ses contacts.
— Et après ?
Elle se tourna enfin vers lui, le regard aussi inexpressif que sa voix. La femme qui était venue le trouver la nuit précédente était tout simplement… partie.
— Tant que je suis connectée au PsiNet, je suis une menace. Et il n’y a aucun moyen de me débrancher du Net. C’est sans issue. »

 

Ma Note :

 

 

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27 septembre 2016 2 27 /09 /septembre /2016 08:00

 

Quatrième de Couverture :

Vampire sanguinaire, guidé par son insatiable appétit de vengeance, Lothaire s’est juré qu’il s’emparerait un jour du trône de la Horde. La haine qui le dévore depuis l’enfance inspire la terreur à tous, et on le croit volontiers sans cœur. Pourtant, il a offert son amour à Saroya la Faucheuse d’Âmes, qu’il vénère plus que tout. Or, victime d’une malédiction, cette dernière a besoin d’un corps charnel pour se réincarner. Et elle a jeté son dévolu sur la ravissante et innocente Elizabeth, à qui Lothaire devra, tôt ou tard, ôter la vie. Pour celui qui a fait couler tant de sang, cet acte devrait être un jeu d’enfant. Et pourtant…
 

Mon Avis :

Bien. J'ai adoré les deux personnages. 
Lothaire est tourmenté, complètement fou selon lui, mais il a un bon fond. Je m'attendais à quelqu'un de plus cruel et nettement plus cynique. Je l'aurais peut-être plus apprécié ainsi. 
Elizabeth était cool aussi. J'ai bien aimé qu'elle soit possédée par une déesse du mal absolu et j'ai trouvé dommage qu'elle ne l'est pas été plus longtemps. Et oui, j'imagine que je suis un peu sadique ! Elie est une montagnarde, qui vit dans son trou paumé mais elle a son petit caractère auquel on s'attache très vite. 

Autant j'ai aimé les deux personnages séparément, autant j'ai trouvé que leur couple ne fonctionnait pas si bien que ça. 
Après, c'est toujours un plaisir de retrouver ces personnages du Mythos complètement déjantés ! Thad et la Sorcière m'ont plus aussi, j'aimerais beaucoup lire leurs histoires.

 

Extraits :

« — Je suis née et j'ai grandi dans les montagnes. Ensuite, je suis allée en prison. Je n'ai jamais mangé des trucs pareils. Des fruits de mer sophistiqués. Si tu voulais que je mange du poisson, il fallait le sortir d'un sac de chez Picard.
Ah, bien.
— Alors, mange le pain.
Elle entreprit de beurrer un petit pain.
— Saroya veut vraiment que je prenne du poids ?
Il hocha la tête.
— Et tu es du même avis ?
Il la trouvait adorable telle qu'elle était, quasiment irrésistible, mais n'avait en réalité pas vraiment de préférence. Si Ellie prenait plus de rondeurs, il aurait plus de ce qu'il aimait déjà. Et c'était Saroya qui occuperait ce corps pour l'éternité.
— Si ma femme le désire, alors je le désire.
— OK, mais tu ne diras pas que je ne t'ai pas prévenu, hein, parce que trop de pain et j'aurai le cul comme un camion.
Elle mordit dans le petit pain. »

*****

« — Donc, si j'ai bien compris, avait dit sa mère en fixant Lothaire d'un regard impressionné - car, même brûlé et enveloppé de gaze, il était encore d'une beauté divine -, l'homme le plus beau que tu aies jamais vu t'a transformée pour que tu ne tombes plus jamais malade et que tu ne meures pas, puis t'a gâtée pourrie en te couvrant de bijoux et de vêtements de luxe, tout en te faisant parcourir le monde ?
— Vu sous cet angle, évidemment, ça paraît tout à fait déraisonnable de ma part de l'avoir rejeté et quasiment décapité sans le vouloir.
— Tu te moques de qui, Ellie Ann Daciano ?
— Tu as oublié le reste de ce que je t'ai raconté ? s'était écriée Ellie. Il m'a traitée comme... comme tu traites Bo !
— Ce chien dort avec moi, je te signale !
— Si je reste avec Lothaire, je devrai vivre à l'intérieur d'une montagne !
Sa mère s'était rembrunie.
— Tu veux dire, dans un terrier, un truc comme ça ?
— Dans un château. Mais ce n'est pas le problème...

 

Ma Note : 

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24 septembre 2016 6 24 /09 /septembre /2016 08:59

 

Quatrième de Couverture :

Après avoir été trahi, Wulf le Viking est devenu un Chasseur de la Nuit au service d'Artémis et doit protéger les humains des Démons. De plus, Wulf est victime d'une malédiction : tous ceux dont il croise la route l'oublient au bout de quelques minutes. Tous... sauf cette jeune femme blonde qu'il a sauvée des griffes des Démons. Ultime descendante d'Apollon, Cassandra ne doit pas survivre à son vingt-septième anniversaire. Or les Apollites sont les ennemis de Wulf. Il a juré de les exterminer sans pitié jusqu'au dernier...

 

Mon Avis :

J'ai mis du temps à le lire, mais oui, le tome était bon et agréable à lire.
Tout d'abord, j'ai apprécié l'histoire. On en découvre plus sur les Apollites et non, ils ne sont pas tous des monstres. Leur destin est funeste, et j'ai été touchée par Cassandra qui vit mais est attristée par sa fin inéluctable. Tous les Apollites meurent à 27 ans, et elle tient à profiter de ses derniers instants. Surtout quand elle rencontre Wulf.
Sauf que ces deux-là sont plutôt des ennemis naturels. Mais les évènements vont les réunir, ils forment alors un beau couple, et très unis. Wulf est maudit, toute personne l'oublie sauf Cassandra. Quelle aubaine pour lui qui est si solitaire et presque sans famille et amis. 
Côté personnages secondaires, ils m'ont tous plu et on a envie en tant que lecteurs inconditionnels de Sherrilyn d'en découvrir davantage (heureusement qu'on sait que plein de tomes nous attendent!).

 

Extraits :

« — Phœbe, tu n’aurais pas un recueil de contes où les Chasseurs ne seraient pas dépeints comme des suppôts de Satan ?

— Ça m’étonnerait qu’un tel livre existe. Je ne vois pas où les auteurs auraient trouvé l’inspiration !

— Bravo. Mon fils ne pourra dormir que la lumière allumée parce qu’il sera terrifié après qu’on lui aura raconté une histoire, grommela Wulf.

— À mon avis, le contenu de ce livre sera le cadet des soucis de ton fils, Wulf. Vu le père qu’il va avoir, la réalité sera plus traumatisante pour lui que n’importe quel conte de fées !

— Que veux-tu dire, Chris ? demanda Cassandra.

— Quand j’étais gamin, Wulf m’obligeait à porter une Combinaison matelassée et me coiffait d’un casque de protection ! Et ça a duré jusqu’à ce que j’aie quatre ans.

— C’est parce que chaque fois que tu piquais une colère, tu te tapais la tête contre les murs, expliqua patiemment Wulf. J’avais peur que tu te fasses une lésion au cerveau.

— Mon cerveau va très bien. C’est ma vie sociale qui est
 pourrie ! Alors, il est normal que je m’inquiète pour ce mouflet ! Qu’est-ce que tu vas lui faire, hein ? »

*****

« — Je suis venu parce que je n’avais rien de mieux à faire, grommela Zarek. Je me suis dit que ce serait marrant de filer quelques coups de pied aux Démons.

— Salut, Zarek, dit Wulf. C’est donc toi, l’exilé d’Alaska ? Le Grec avait une expression féroce, une posture agressive, mais Wulf comprit tout de suite que c’était du chiqué.

— Ouais, et je me les caille, ici. J’ai hâte de botter le cul de ces foutus Démons et de repartir sur ma plage à l’ombre des cocotiers. Parce que c’est là que j’habite maintenant, Viking. Grâce à la famille d’Astrid, ma femme, j’ai eu droit à une promotion.

— Si ça t’emmerde tant que ça d’être là, pourquoi es-tu venu ? s’enquit Talon.

Zarek tendit le bras. Il y eut un claquement, et une griffe d’acier jaillit de sa main gauche.

— Astrid a insisté. Elle a dit qu’il fallait que je me fasse des copains. Ça me l’a coupée. Les femmes ont de ces idées ! Elle veut me rendre sociable. »

*****

« Depuis maintenant plusieurs semaines, ta mère remplit ce coffret : Elle a peur que tu ne saches pas tout sur elle. Si tu savais, mon fils, comme je souffre à l’idée que tu ne puisses la connaître et voir à quel point elle est forte et volontaire. Mais après avoir lu cette lettre, tu n’ignoreras plus rien d’elle… sauf la douceur de son visage lorsqu’elle parle, la musique de sa voix, la tristesse quelle s’efforce de cacher mais qui voile son regard.

Chaque fois que je surprends cette lueur dans ses yeux, j’en ai le cœur brisé.

Elle t’aime déjà tellement ! Elle m’a donné nombre de directives et de conseils à suivre pour ton éducation. Il me sera interdit de me comporter avec toi comme avec ton oncle Chris que, prétend-elle en riant, je rends fou. 
»
 

Ma Note :

 

 

 

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20 septembre 2016 2 20 /09 /septembre /2016 08:54

 

Quatrième de Couverture :

Je suis flic, et à part une petite bizarrerie et un sérieux manque de sex-appeal dont je me passerais bien, ma vie est plutôt sympa. Mais un soir tout vole en éclat. Traquée par des types bizarres, je me retrouve baby-sittée par mon nouveau boss, un type beau à tomber aux instincts meurtriers peu rassurants, qui semble éprouver à mon égard une allergie aussi violente qu’inexplicable. Alors, telle Alice, je plonge dans le terrier du lapin blanc ; sauf que, dans mon cas, la curiosité n’y est pour rien : mon imbuvable garde du corps m’y a poussée. Bien décidée à retrouver ma vie et les miens, je rue dans les brancards, mais les échos d’une prophétie plus vieille que le monde pourraient bien finir par me rattraper et m’en empêcher. Je vais tout faire pour me sortir de ce guêpier, même si, je dois bien l’admettre, il y a quelques compensations : des beaux mecs comme s’il en pleuvait. Et dire que je me plaignais que mon carnet de bal était vide…Pièce maîtresse d’une lutte de pouvoir immémoriale, entraînée au cœur d’un tourbillon de violence et de sang, Jana découvre peu à peu que tout ce qu’elle croyait savoir n’est qu’un leurre, et que la frontière entre les bons et les méchants n’est peut-être pas aussi tranchée que ce qu’en disent les traditions millénaires.

 

Mon Avis :

J'avais déjà remarqué ce livre de par sa très jolie couverture, mais n'y avais porté qu'une vague attention, me disant que c'était un truc de paranormal comme un autre.
Bah j'ai eu tort, c'est intriguant, original et on est piqué par la curiosité !

Jana est somme toute assez normale, puis, PAF, un soir, elle se fait poursuivre et son chef la sauve de cette situation. Là, tout par un peu en co...cacahuètes ! Elle pense que Kell de Monio est un agent des services secrets venu la secourir d'on ne sait quel danger. Le mystère s'épaissit, aussi bien pour Jana que pour nous, pauvres lecteurs. 
On ne sait pas ce qui va arriver, voilà toute la magie de ce roman. Et ce dit que ceci va arriver, et non, c'est ça ! Puis, c'est déjà fini, mais non, encore des surprises !

Je n'en dévoile pas plus, le livre vaut le coup d'être découvert. J'ajoute seulement que l'écriture est agréable et le rythme aussi. On s'attache facilement à Jana, elle est normale et pourrait nous ressembler. Les personnages secondaires aussi sont plaisants, même si certains sont antipathiques.

 

Extraits :

« — Comment ? Vous n’êtes pas une Very Important Person ? Je suis très étonnée… !

Le portier reporta son attention sur moi et je me sentis fondre sous son regard de braise.

— Very Inhuman Person, chérie, ronronna-t-il, ses yeux sombres m’observant avec l’attention admirative d’un égyptologue face à un bas-relief inconnu et d’une rare beauté. T’es quoi, toi ? J’arrive pas à deviner…

— Euh… une fille.

Il s’esclaffa :

— Très drôle ! Non, sans rire, t’es quoi ? D’habitude je peux…

Kell me tira derrière lui avec une fermeté qui m’horripila, mettant fin à la séance de drague.

— Laisse-nous entrer, dit-il lentement, en détachant bien les mots.

Je ne savais pas pourquoi, mais sa tactique n’était pas la même qu’avec le videur de l’entrée. L’asiatique l’ignora et se pencha de côté sur son tabouret pour croiser mon regard. »

 

*****

« — Ô mon amour, susurrai-je, avec un air énamouré parfaitement niais, tout en continuant à picorer son cou de baisers. (Je sentais battre contre mes lèvres le sang dans sa carotide, et le rythme était de plus en plus rapide.) L’Australie ! Quelle belle surprise ! Tu es vraiment le mari le plus a-do-rable de l’univers !

Mon petit stratagème m’attira un regard jaloux de la part de l’employée, mais il fonctionna parfaitement. Kell me libéra de son étreinte. C’était officiel, ce mec préférerait se taper le cadavre décomposé d’une hyène morte depuis un mois plutôt que ma petite personne. Pas de problème, ça me va trèèèès bien !

C’est ça… À qui espérais-je le faire gober ? J’essayai tout de même de me remonter le moral. Il était peut-être gay, allez savoir ? Cela expliquerait son comportement…

Mouais… Nico était gay et pourtant il ne m’avait jamais traitée ainsi… »

*****

« Je me sentais si bien. En sécurité. Apaisée. Ma joue reposait contre une surface chaude, ferme et souple à la fois, qui montait et descendait.  « Le martèlement lent et profond qui accompagnait le mouvement me fit ouvrir un œil paresseux. Je plongeai immédiatement dans un regard aux couleurs de glacier qui me fixait.

Mon cerveau mit un moment à remettre en ordre les souvenirs de la veille qui s’y bousculaient. Le dernier que j’avais, c’était moi, épuisée, la tête nichée contre le flanc de Kell. En le faisant, j’avais eu conscience que s’il avait été à l’état de veille, il m’aurait envoyée balader. Mais, à ma décharge, s’il n’avait pas été aux abonnés absents, je n’aurais pas osé chercher le réconfort et la chaleur auprès de lui. Et voilà que je me réveillais au creux de ses bras, la joue posée sur sa large poitrine.

Je me tendis, dans l’attente du coup, de la remarque acerbe à venir. Pourtant, je ne vis ni colère ni dégoût dans son regard clair. Je sus que j’étais en train d’halluciner
 quand il me sourit. Un vrai sourire, pas l’un de ceux qu’il m’avait occasionnellement adressés lorsqu’il fallait jouer la comédie du gentil petit couple.

— Salut, murmura l’hallucination. Bien dormi ?

Je clignai des paupières. Kell était manifestement de très bonne humeur ce matin, ou alors, et c’était le plus probable, j’avais basculé dans la cinquième dimension.

— Euh… oui, répondis-je prudemment, de peur de faire voler en éclat ce joli rêve. Je… (Je me redressai maladroitement et jetai un coup d’œil en direction des hauts vitraux traversés par la lumière du jour.) Quelle heure est-il ? »

 

Ma Note :

 

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11 septembre 2016 7 11 /09 /septembre /2016 08:34

 

Quatrième de Couverture :

"Ce soir, j'ai peut-être vaincu l'un des pires Unseelies de tous les temps, mais le silence et la désolation qui règnent dans ce qui était autrefois le coeur de Temple Bar me donnent le cafard. 
Je veux retrouver mon Dublin.
Je veux que cette foutue glace disparaisse.
Alors que je viens de faire halte, maussade, l'extrémité d'un objet dur et pointu se pose soudain dans mon dos.

- Lâche ton épée, Dani, dit Mac derrière moi."


 

 

Mon Avis :

 

Je l'ai fini. Je l'attendais depuis longtemps. Je l'ai lu avec délectation.

C'est avec un certain plaisir que je retrouve une de mes séries préférées (adulées même!). Je suis comblée, la lecture était bonne, sans essoufflement et longueur selon moi. 
Après, il m'a manqué une étincelle de magie, un quelque chose que les tomes précédents avaient. 
Par ailleurs, j'aurais préféré avoir plus de Dani et moins de Mac. J'adore Mac, mais c'est au tour de Dani d'avoir le grand rôle. Côté personnages secondaires, je suis très satisfaite. On explore d'autres psychés, c'est agréable. Je suis très intriguée par Jada, je l'aime beaucoup et j'attends qu'elle nous dévoile d'autres mystères ... m'enfin, si elle disparait, ce n'est pas grave !
En bref, pas mal d'interrogations dans ce tome, je veux en savoir plus, je suis sur ma faim !

 

Extraits :

Ryodan répond doucement :
- Nom d'une fraise des bois, Dani, on pédale dans la confiture.
Je le regarde comme s'il venait de lui pousser une seconde tête. Une fraise des bois ? Dans la confiture ? Même Barrons a l'air abasourdi.

*****

— Je ne suis pas Dani. Et je n’ai jamais eu de tatouage. Mais si quelqu’un avait eu l’idée de m’apposer une marque dont je ne voulais pas et que je n’approuvais pas, je la couperais certainement. Je ne suis pas du bétail que l’on marque au fer rouge.
Je frotte le tatouage à l’arrière de mon crâne et décoche un regard irrité à Barrons.
— Meuh, dis-je d’un ton hostile.
— Ne commencez pas, réplique-t-il. Je vous ai plusieurs fois sauvé la vie.
— C’était pour ta protection, argue Ryodan.
— Précisément, renchérit Barrons.
— Je n’ai pas besoin de protection, et je n’en ai jamais eu besoin, rétorque Jada. Je protège. Je chasse. Je suis le prédateur, pas la proie. Fichez le camp et je vous laisserai partir. Toutefois, nous nous reverrons.

 

Ma Note : 

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